Haribo-Sapiens

Haribo Sapiens

Au sommet de la chaîne alimentaire avec un cerveau démesuré Homo Sapiens à une responsabilité morale envers ce qui lui est plus faible et plus vulnérables que lui.

En niant et en bafouant sans cesse cette responsabilité majeure,

Homo Sapiens se permet d’ exercer toutes les formes possibles et inimaginables de cruautés envers les animaux, tout en usant de l’ art du langage pour justifier les saloperies qu’il afflige à ses frères, Terriens comme lui .

Transformer un cochon ou une vache en gélatine pour bonbons , c’ est de la pensée nazie mis en application sur un animal par Haribo et consorts .

On n’ en est pas sortie de la pensée nazie !

Cafoui.

La souffrance des animaux, leur sensibilité d’êtres vivants, est un des plus vieux tabous de l’homme. Dans ce livre iconoclaste – que certains considéreront même comme scandaleux –, mais courageux et novateur, l’historien américain Charles Patterson s’intéresse au douloureux rapport entre l’homme et l’animal depuis la création du monde. 
    Il soutient la thèse selon laquelle l’oppression des animaux sert de modèle à toute forme d’oppression, et la « bestialisation » de l’opprimé est une étape obligée sur le chemin de son anéantissement. Après avoir décrit l’adoption du travail à la chaîne dans les abattoirs de Chicago, il note que Henry Ford s’en inspira pour la fabrication de ses automobiles. Ce dernier, antisémite virulent et gros contributeur au parti nazi dans les années 30, fut même remercié par Hitler dans Mein Kampf. Quelques années plus tard, on devait retrouver cette organisation du « travail » dans les camps d’extermination nazis, où des méthodes étrangement similaires furent mises en œuvre pour tétaniser les victimes, leur faire perdre leurs repères et découper en tâches simples et répétitives le meurtre de masse de façon à banaliser le geste des assassins. 
    Un tel rapprochement est lui-même tabou, étant entendu une fois pour toutes que la Shoah est unique. Pourtant, l’auteur yiddish et prix Nobel de littérature Isaac Bashevis Singer (qui a écrit, dans une nouvelle dont le titre de ce livre est tiré, « pour ces créatures, tous les humains sont des nazis ») fut le premier à oser la comparaison entre le sort réservé aux animaux d’élevage et celui que les hommes ont fait subir à leurs semblables pendant la Shoah. 
    S’inspirant de son combat, Patterson dénonce la façon dont l’homme s’est imposé comme « l’espèce des seigneurs », s’arrogeant le droit d’exterminer ou de réduire à l’esclavage les autres espèces, et conclut son essai par un hommage aux défenseurs de la cause animale, y compris Isaac Bashevis Singer lui-même.

    « Le livre de Charles Patterson pèsera lourd pour redresser les torts terribles que les hommes, au fil de l’histoire, ont infligés aux animaux. Je vous incite vivement à le lire et à réfléchir à son important message. » 
                                                     Jane Goodall, primatologue

    « Le défi moral posé par Un éternel Treblinka en fait un livre indispensable pour celui qui cherche à explorer la leçon universelle de la Shoah. » 
                                                     Maariv, journal israélien


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by Cafoui : HARIBO sapiens
diasec/dibond 100x 100cm


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by Cafoui : HARIBO sapiens
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by Cafoui : hariboss 
diasec / dibond 100 x 100 cm

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by Cafoui : Hariboss 
diasec / dibond 120 x 120 cm
by Cafoui : Hariboss 
diasec / dibond 120 x 120 cm
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diasec / dibond 100 x 100 cm


















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